mardi 12 avril 2011

Epilogue




  • Côte d'Ivoire : Désiré Tagro, suicide ou assassinat ? Que sont devenus les plus fidèles soutiens de Laurent et Simone Gbagbo ? Comme eux, certains ont été arrêtés, d’autres se sont placés sous la protection de la Force française Licorne. D'autres encore, comme Charles Blé Goudé, restent introuvables. Désiré Tagro, lui, est mort. Selon plusieurs sources, il se serait suicidé. Mais d'après Toussaint Alain, il s'agirait d'un assassinat.De tous les anciens cadres du système Gbagbo, c’est peut-être l’ancien ministre de l’Intérieur Désiré Tagro, natif de la ville d'Issia (centre-ouest), qui a connu le sort le plus tragique. Selon une source diplomatique au sein de l’Union africaine et plusieurs témoignages concordants, le secrétaire général de la présidence n’a pas supporté l’idée de se rendre aux Forces républicaines d’Alassane Ouattara. Lors de l’assaut donné sur la résidence présidentielle de Laurent Gbagbo, hier en fin de matinée dans le quartier de Cocody, il est l’un des premiers à sortir du bunker en agitant un tissu blanc en signe de reddition. Puis, après que Laurent Gbagbo s'est également extrait de sa cachette, Désiré Tagro se saisit de son pistolet et se tire une balle en pleine bouche. Il décédera ce mardi matin à la Polyclinique internationale Sainte Anne-Marie (Pisam) du quartier Cocody Canebière. Mais la version donné mardi matin par Toussaint Alain, le porte-parole parisien de Laurent Gbagbo, est radicalement différente. Pour lui, Tagro a été froidement assassiné par les FRCI. Du côté du Golf Hôtel, on dément fermement cette assertion. Le mystère Charles Blé Goudé. Parmi les personnes arrêtées avec Laurent Gbagbo et placées avec lui sous la protection de la police de l’ONU au Golf Hôtel, se trouvent sa mère, Marguérite Lélé Gado, sa femme Simone, ses deux filles, les jumelles Marie-Patrick et Marie-Laurence, ainsi que son fils Michel. Des correspondants de médias français ayant cru voir, comme de nombreuses personnes, Charles Blé Goudé, la rumeur se répand que le leader des « jeunes patriotes » fait partie des détenus. En fait, il n’en est rien et le « fils spirituel » de Gbagbo restait introuvable dans la journée de mardi. Interrogé par RFI mardi matin, le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan n’a pas dévoilé l'endroit où il se trouvait, mais plusieurs sources le disent au 43e BIMA de Port-Bouët sous bonne garde, avec l’ancien ministre de l’Économie et des Finances, Paul-Antoine Bohoun Bouabré, et le porte-parole de l’ex-gouvernement Gbagbo, Ahoua Don Mello. Le général Philippe Mangou, ex-chef d'état-major des armées du président sortant, a quant à lui fait allégeance à Alassaen Ouattara dans l'après-midi.


21h55 Pour tous les véhicules braqués: Appelez le NUMÉRO 07 02 85 85, pour donner l’immatriculation et autres infos du véhicule, afin d’empêcher la sortie par la frontière.
21h45 Abidjan – le Président Alassane Ouattara s’est entretenu au téléphone, en fin d’après-midi, avec son homologue américain, le Président Barack Obama
21h35 Primature communique: Les frontières seront verrouillées en collaboration avec les pays frontaliers, pour permettre de saisir les véhicules volés.
20h45 L`ancien président déchu de Côte d`Ivoire Laurent Gbagbo est toujours à l`hôtel du Golf à Abidjan et n`a pas été transporté hors de la ville comme l`avaient indiqué dans un premier temps, mardi, par erreur les Nations Unies
20h30 Abidjan (Côte d’Ivoire) Le président ivoirien Alassane Ouattara a nommé Amani Renée directeur national à la tête de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO) en Côte d’Ivoire, a appris APA de source officielle.
19h50 Le General Mangou a fait allégeance au President Alassane Ouattara
19h48 Selon un gradé des FRCI : depuis l’arrestation de Gbagbo jusqu’a maintenant ils ont reçu 500 plaintes (agression, vol, pilages etc) et que le point a été fait au premier Ministre qui a convoqué tous les Généraux et que voici l instruction qui a été donné : tout FRCI qui sera attrapé avec un véhicule et n’ayant reçu aucun ordre de Mission sera questionné sur l’origine du véhicule et s’il ya de la résistance ce sera ciblé par des armes sans sommation. Aussi tous les véhicules qui seront récupérés seront déposés à l’état major et une communication sera faite sur les véhicules (immatriculation) dans un journal et le propriétaire viendra le récupérer. En résumé sachez que le PR et son gouvernement sont conscients de ce qui se passe et sont en train de travailler pour que cela s’arrête. Alors continuer à appeler et donner toutes les informations nécessaires.
19h45 MARCEL GOSSIO aurait été déniché et arrêté par les FRCI. Une important somme d’argent en Euros aurait été récupéré chez lui puis convoyée par 2 véhicules brinks en lieu sûr. À confirmer !
19h35 Laurent Gbagbo a été transporté en dehors d`Abidjan dans un lieu secret (ONU)
19h30 Une cache d’armes aurait été découverte à Cocody lors d’une patrouille, 18 tonnes d’armements remis à L’ONU. Envoyé spécial de BFMTV à Abidjan.
19h00 Tagro s’est suicidé, hier, quant les français et les FRCI sont arrivés à la résidence, Tagro était le premier à sortir en agitant un drapeau blanc, quant le vieux et la vielle accompagné des autres sont sortis, Tagro a pris son pistolet pour se tirer une balle dans la bouche devant tout le monde, c’est ce matin qu’il est décédé à la PISAM.
18h50 La maisons des enfants de Félix Houphouët-Boigny totalement pillées
18h20 Les anciens chefs militaires qui se sont battus aux côtés du président sortant Laurent Gbagbo ont prêté allégeance à Alassane Ouattara
18h00 Mme Guy Andre Kieffer était l’invite de Menart sans interdit. Elle est rentrée en contact avec l’ambassadeur de CI en France pour relancer l’affaire. Elle a cite le couple Gbagbo et a surtout insiste sur Simone, Kadet Bertin, Legre Michel, Bohoun Bouabre… Elle espère que justice sera faite.

  • C’est la traque aux pilleurs désormais par les Frci. Pour sûr la récréation est bel et bien terminée. Ordre a été donné par le Premier ministre et le ministre de l’intérieur de traquer les pilleurs et de les neutraliser. Si les instructions ont été données depuis plusieurs heures, il faut noter que le pillage du domicile de Marcel Zadi Kessy, Pca du Groupe Cie-Sodeci est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Celui-ci étant vice président du Pdci et proche également du président Ouattara, des questions se posent au sujet de l’identité des pilleurs, qui dit-on ne s’en prenaient jusque- là, qu’à des proches de Lmp, qui ont le malheur de ne pas avoir d’amis Rhdp à alerter ou qui refusent de le faire en attendant que la police et la gendarmerie se déploient.
  • En attendant l`ouverture d`une enquête judiciaire, Monsieur Laurent Gbagbo
    et certains de ses compagnons font l`objet d`une mesure d`assignation à
    résidence
  • Abidjan (Côte d'Ivoire), Envoyé spécial - Dans le hall de l'Hôtel du Golf, la nouvelle éclate comme une grenade. A la porte du quartier général d'Alassane Ouattara, qui est aussi sa présidence temporaire, voici que survient, sans crier gare, Laurent Gbagbo. L'homme qui mène depuis le jeudi 7 avril un combat féroce pour le contrôle d'Abidjan face aux forces d'Alassane Ouattara, bunkérisé dans la résidence des chefs d'Etat de Côte d'Ivoire en essayant de déclencher le chaos total. Que diable fait-il au milieu de cette foule de soldats qui hurlent ? Il vient d'être capturé.

    Pris ce matin, lundi 11 avril, par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) et amené à l'Hôtel du Golf où Alassane Ouattara, reconnu vainqueur de l'élection présidentielle de novembre 2010 par la communauté internationale, vit confiné depuis quatre mois, sous protection de l'ONU.

    Les militaires et militants pro-Ouattara qui se trouvent là se referment comme une mer de colère sur l'ennemi vaincu, qui n'en mène pas large. Suppliant qu'on l'épargne, il doit être poussé jusqu'au bar Le Flamboyant, l'asile le plus proche dans le hall, puis entraîné in extremis jusqu'à l'aile protégée d'Alassane Ouattara dont les partisans, fous de rage, se jettent sur la porte.

    Deux hommes se disaient présidents dans la même ville, le même pays. Désormais il n'en reste qu'un, et son rival lui doit la vie. Alassane Ouattara avait exigé de ses troupes qu'elles épargnent Laurent Gbagbo et son entourage, préférant la perspective de la justice à une victoire tachée de ce sang-là.

    D'autres prisonniers arrivent derrière, déchargés des pick-up par les combattants d'Alassane Ouattara. Combien sont-ils ? Au moins soixante. On ne les compte plus. Il y a les petits-enfants de Laurent Gbagbo, sa vieille mère. On les traite avec ménagement. Au comptoir en fer à cheval du Flamboyant, ils révèlent qu'ils meurent de faim. Il n'y avait plus rien à manger dans la résidence où Laurent Gbagbo et son entourage devaient lutter jusqu'à l'apocalypse promise par leurs prédicateurs, dont l'un est amené avec eux.

    CHEMIN DE CROIX

    La foule du Golf, qui a instantanément grossi à mesure qu'arrivent de nouveaux combattants et militants, reconnaît les durs du camp Gbagbo, ceux qui ont hurlé à la violence, ceux qui incarnent les crimes du régime. Une femme, dont le frère a été brûlé vif sur un barrage de patriotes pro-Gbagbo, se déchausse de son escarpin et essaye d'en frapper la créature méconnaissable qui passe à sa portée.

    Il s'agit de Simone Gbagbo. L'épouse du président sortant, ultra du régime qui vient de tomber. Des mains furieuses ont mis ses habits en lambeaux. Ont fini d'arracher ses tresses par pleines mèches de cheveux. Un soldat exhibe un morceau de sa chemise, d'une étoffe mauve bon marché, "made in Thaïland". Déjà, des hommes tentent de lui racheter cette prise pour en faire des "protections" magiques. Les ennemis les plus irréductibles du couple Gbagbo continuent de toute évidence à leur accorder d'étranges pouvoirs, même dans la déchéance.

    D'autres captifs descendent des pick-up. Qu'il est long, pour certains d'entre eux, le chemin de croix depuis le parking, tandis que pleuvent les gifles et les coups avant d'arriver au Flamboyant. Dans la foule, certains penchent pour le lynchage, d'autres font rempart de leur corps. On peine à reconnaître les visages dont certains sont déjà tuméfiés.

    Est-ce Désiré Tagro, le proche de Laurent Gbagbo, ex-ministre de l'intérieur et éphémère secrétaire général d'une présidence désormais disparue, dont la mâchoire pend ? L'a-t-on, comme l'affirment certains, blessé à coups de crosse ? Déjà, un autre membre de l'entourage est frappé dans le hall de l'Hôtel du Golf, laissant sur le mur une longue trace pourpre. Charles Blé Goudé est signalé. Ce n'est pas lui, pourtant, qui entre. Le chef des patriotes serait en train de tenter d'organiser la résistance des patriotes à Dabou, une ville des environs d'Abidjan.

    Mais voici "Légionnaire", Michel, le fils que Laurent Gbagbo a eu avec sa première femme française, et il croit venue sa dernière heure lorsque des soldats parviennent à le tirer vers les jardins du Golf. Il a dans les yeux la terrible supplique des hommes qu'une foule s'apprête à supplicier. Il est torse nu. Il saigne. On le cogne contre la vitre d'une salle de conférences dans laquelle, quelques instants plus tôt, étaient projetées les images terribles d'un homme sur le point d'être, lui aussi, supplicié.

    Un supposé "étranger", arrêté à un barrage de "patriotes", les partisans de son père. Sur les images, filmées par téléphone portable, la victime est à terre, couverte de branches, avant d'être brûlée vive. Voilà la signature de la fin de l'ère Gbagbo. Michel ne connaîtra pas ce sort. On l'escorte à présent avec les autres, il est sauvé.

    GIFLES ET COUPS DE PIED

    Le soir, dans leur chambre, Laurent et Simone reprennent leurs esprits. Simone prie, refuse le dîner, va se coucher. L'ex-chef d'Etat déchu feint-il de faire bonne figure, ou est-il sous le choc ? Il demande des nouvelles de sa mère à un responsable de l'autre camp, et finit par clamer: "Je viens de loin, j'ai faim !" Il va falloir livrer 100 repas de plus aux captifs dans un Hôtel du Golf déjà à la limite de ses stocks. Certains responsables pro-Ouattara devront donc se passer de repas, sur ordre du nouveau chef de l'Etat.

    Alassane Ouattara veut que la Côte d'Ivoire change d'ère. Il a ordonné aux chefs militaires, y compris ceux aux mains les plus sales, d'épargner le clan Gbagbo au moment de la capture. Les gifles et les coups de pied ne sont que la menue monnaie de ces gigantesques comptes à régler. C'est le commandant Wattao qui, dans la présidence tout juste investie, passera un gilet pare-balles à Laurent Gbagbo qu'on emmène pour lui éviter une balle perdue sur la route de l'Hôtel du Golf.

    En fin de matinée, lundi, Laurent Gbagbo et les siens avaient tenté une sortie de la résidence, en feu depuis le tir d'un missile français, la veille au soir. Cela n'a pas suffi, car au premier assaut, les tirs des dernières armes lourdes depuis le bâtiment couvert de marbre ont mis les assaillants pro-Ouattara en fuite. "Malgré les tirs , ils n'y arrivaient pas. On a dû ouvrir une brèche dans le mur [de la présidence, d'un coup de canon] pour qu'ils puissent entrer", rapporte un soldat français présent sur place.

    Quelques heures plus tard, à l'intérieur de la résidence, au milieu des hommes qui cherchent à défoncer la porte d'un coffre à coups de crosse, déclenchant un tir inopiné de kalachnikov, Diarassouba Ibrahima, l'un de ceux qui ont arrêté Laurent Gbagbo, "remercie beaucoup la France pour tout ce qui s'est passé. Parce que sans les conseils de la France, on n'aurait pas pu l'avoir. Les Français nous ont donné beaucoup de conseils !" Enfumé, Laurent Gbagbo a tenté de s'enfuir à bord d'une vedette sur la lagune. En a-t-il été dissuadé par un hélicoptère français en survol ? En tout cas, il a été saisi.

    LE PILLAGE, UNE VASTE COMPÉTITION

    Une heure plus tard, la partie centrale du bâtiment fume encore. La bibliothèque avec sa collection des classiques grecs et latins, où Laurent Gbagbo aimait donner ses interviews, finit de se consumer. Dans la salle de sport, des soldats boivent du dom pérignon dans des coupes en cristal, puis au goulot, pour faire plus vite. Le pillage est une vaste compétition, et l'entrée dans la résidence a été dure. Personne ne trouve l'entrée du fameux bunker d'où Laurent Gbagbo ne devait jamais sortir vivant. Peut-être était-ce une illusion de plus ? L'idée se perd dans le bruit des canalisations brisées, des coups pour mettre les placards en miettes.

    Les baies vitrées de la présidence sont trouées de balles. Des petits soldats frappent le socle des statues de Félix Houphouët-Boigny, à la recherche de trésors cachés. D'autres démarrent aux fils les voitures du cortège présidentiel qui n'ont pas été carbonisées la veille. "Ils sont incontrôlables. Ouattara va avoir du boulot pour les gérer", commente un militaire français en regardant ces hommes sortant de pleines valises bourrées.

    Un étage plus bas, un groupe de neuf hommes est tapi dans l'ombre, serrant des armes. Ils seront vite convaincus de les abandonner, et de se rendre. Promptement déshabillés, ils sortent en se tenant par l'arrière du slip, les yeux rivés au sol. "Des miliciens", hurle un soldat. "Les cuisiniers", chuchote un autre en contemplant les bedaines de ces hommes mûrs.

    La défaite n'est jamais belle. La victoire d'Alassane Ouattara a, d'extrême justesse, évité d'être tout à fait laide.
    Jean-Philippe Rémy
  • Février 2011: "Moi Mangou (ste) je ne serai jamais le Chef d'Etat major d'Alassane Ouattara, je ne ferai jamais un coup d'état et le Dieu que nous prions fera triompher la vérité". Avril 2011: "Moi Mangou(ste) me suis mis aux ordres de monsieur le Président de la République son Excellence Alassane OUATTARA et demande à tous de rejoindre vos unités dès demain à 07h"


17h06 Les chefs de l'armée se rallient à Ouattara. Les anciens chefs militaires qui se sont battus aux côtés de l'ex-président Laurent Gbagbo ont prêté allégeance aujourd'hui au président Alassane Ouattara, rapporte la Télévision de Côte d'Ivoire (TCI, proche de Ouattara).  
Il s'agit du général Philippe Mangou, chef d'état-major de l'armée restée fidèle à Laurent Gbagbo, ainsi que de "tous les généraux des forces terrestres, navales et aériennes", précise la TCI. Le général Philippe Mangou a été reçu aujourd'hui par Alassane Ouattara, a indiqué à l'agence Reuters son aide de camp.

17h00 Lycée technique palm club pillage encours ! Ils ont commencé par les voitures. 6 personnes en arme
16h20 Angré cité bceao, des individus en armes forcent les portails !
16h00 Désiré Tagro, un proche de Laurent Gbagbo, mort des suites de blessures par balles. L’ancien ministre de l’Intérieur et secrétaire général de la présidence de Laurent Gbagbo, Désiré Tagro, est décédé, ce mardi 12 avril dans unr clinique d’Abidjan, des suites de blessures par balle lors de l’opération qui a abouti à la capture du président sortant.
15:29 Des coups de feu sont entendus depuis la mi-journée aux abords des cités universitaires de Port-Bouet du fait des étudiants armés de la FESCI.
15:18 Le centre de pré-enregistrement et d'édition du Nouveau permis de conduire ( STARTEN, SONATT, INTERFLEX) subit présentement un pillage... Alerte
15h00 PILLAGES au II Plateaux quartier en face de la pharmacie Las Palmas. De nombreux pilleurs sévissent dans les villas.
  • L'ancien président déchu de Côte d'Ivoire Laurent Gbagbo n'est plus à l'hôtel Golf et a été transporté en dehors d'Abidjan dans un lieu tenu secret, où il reste sous la protection des forces de l'ONU, a indiqué mardi un porte-parole des Nations unies. La mission de l'ONU en Côte d'Ivoire (Onuci) "continue d'assurer sa protection", a affirmé Farhan Haq, porte-parole adjoint de l'ONU, qui n'a pas voulu dire où M. Gbagbo se trouvait. Les forces de maintien de la paix de l'ONU ont "contribué à le transporter dans un autre lieu en Côte d'Ivoire où il est en sécurité", a-t-il ajouté. M. Gbagbo, après son arrestation lundi, avait été conduit par les forces du président élu Alassane Ouattara dans une suite de l'hôtel Golf. La mission de l'ONU "travaille avec les autorités ivoiriennes pour s'assurer qu'il est en sécurité" et les forces de l'ONU resteront avec M. Gbagbo "pour garantir sa sécurité", a-t-il encore indiqué.  

12h55 Blé Goudé serait encore caché dans une villa de la cité sise en face de la résidence « belle côte » à la Riviéra palmeraie, selon des sources bien introduites.
12h30 Urgent – pilllage en cours à la cité BAD, attoban dans le perimètre de l’hôtel Manhattan suite hôtel, attend de l’aide – relayer l’info (source habitant)
12h25 La France va apporter dans les prochains jours « un soutien financier exceptionnel de 400 millions d’euros » à la Côte d’Ivoire, pour notamment les besoins urgents des populations et de la ville d’Abidjan, a annoncé mardi la ministre des Finances Christine Lagarde.
11h20 Selon nos informations, il semble que les Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) participent à certains pillages qui ont lieu à Abidjan
11h15 Tirs armes lourdes au plateau !
09h30 Il est demandé aux FRCI de remettre la fête pour plus tard. Il est nécessaire de continuer la sécurisation de la ville et d’aider les populations en détresse.
08:17 Les milices continuent de sévir à Yopougon. Des massacres sont signalées!!! Urgence
08:08 Les miliciens sont appelés à déposer les armes. Leur combat n'a plus sa raison. Tous les Ivoiriens doivent aller à la Paix et à la Réconciliation.
08:03 La situation est grave à Yopougon, plusieurs dizaines de miliciens armés de kalachs et de rockets tuent, pillent. Bilan: quartier mamie fêtai 28 personnes tués; actuellement: Sicogi, Sideci, Magasin , des tirs intenses, des blessés graves terrés chez eux et mourant, des populations pillées et traumatisées. Nous lançons un cri de coeur au FRCI, à la gendarmerie et à la police, au forces impartiales pour venir en aide aux populations.
07h30 Nady Bamba, la seconde épouse de Gbagbo, aurait joint le premier ministre Soro afin de plaider pour que Laurent Gbagbo soit bien traité.
07h15 Blé Goudé n’est pas à l’hotel du Golf. Il aurait été localisé dans la plantation de Bléhoué Aka à Adahou vers Aboisso. Une mission spéciale a été mise en place pour le retrouver. 
07h00 Toutes les personnes présentes au moment de l’arrestation de Gbagbo, au nombre de 106 sont toutes en sécurité au Golf Hôtel. Bro Grébé, Aboudramane Sangaré, Kuyo Téa Narcisse, Koné Boubacar sont tous au Golf Hôtel. Fausse rumeur : La mère de Gbagbo n’a pas été arrêtée Il s’agit de la mère de Sangaré Aboudramane. Blé Goudé n’est pas avec Gbagbo. Fausse rumeur : Aucun neveu de Gbagbo amputé! 

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